OMBRA MAI FU
A YOUNG HVOROSTOVSKY, TRADITIONAL AND SERIOUS,
BEFORE HIS HAIR TURNED WHITE
THE TEMPO IS EXCEEDINGLY SLOW, BUT IT FEATURED THE INCREDIBLE CONTROL AND BREATH SUPPORT
TRIO OF WATER LILIES
TRIO OF WATER LILIES enamel, markers, pen and pencil on paper. artwork by Wendi Nicole Duong copyright 2013: in all three regions of Vietnam, one can always find Hoa Sung, water lilies!
Tuesday, November 28, 2017
Monday, November 27, 2017
BÀI THƠ XUÔI CỦA NGƯỜI ĐỊNH MỆNH, poetry by DƯƠNG NHƯ NGUYỆN - - JE T’AIME A L’ÉGAL DE LA VÔUTE CÉLESTE
 BÀI THƠ XUÔI CỦA NGƯỜI ĐỊNH MỆNH, | |
JE T’AIME A L’ÉGAL DE LA VÔUTE CÉLESTE
Tình của tôi yêu em như vòm trời
Ở đó ánh mắt bồ câu của em là tinh tú
Tình của tôi yêu em như giải thiên hà
Ở đó nét cọ son của em là cầu vồng cho tôi đi tới
Tôi không có kim cương sáng bằng ánh mắt của em
Tôi không có lam ngọc xanh bằng nét vẽ của em
Làm sính lễ hỏi em người hôn phối
Cho một ngày em mặc áo trắng bằng ren
Trên chuyến xe ngựa trắng, trở về tòa lâu đài của tuổi nhỏ
Hoặc một ngày em mặc áo gấm đỏ? khăn vành xanh
Trở về quê trên chiếc thuyền mộc mạc của kinh rạch miền Nam
con ngựa ô nhún nhẩy, “em theo chàng về dinh…”
Phải chăng tất cả là ảo vọng?
Trên đỉnh cuộc đời đã lắm phù du…
Cho nên tôi phải lấy ngôn từ làm căn bản yêu em
Để ánh mắt em bừng sáng dọi lan trên vòm trời định mệnh
"it's only words and words are all I have to take your heart away"
Cho nên tôi sẽ đi tới tình yêu trên chiếc cầu vồng em vẽ
Tôi yêu em với ngôn từ
Em vẽ tình tôi bằng cọ son
JE T’AIME A L’ÉGAL DE LA VÔUTE CÉLESTE
DƯƠNG NHƯ NGUYỆN
copyright JULY 2009
| |
Monday, November 20, 2017
HOUSTON SKYLINE: 1970s
 |
| Houston & Bayou: 1978 UND C 1998 water color, digitally inversion & addition appraisal value beginning at $200 plus cost of production |
Friday, November 17, 2017
DOES ONE NEED NATIVE FLUENCY TO WRITE A POEM IN FRENCH?
I don't think so, but the poet does need to know the language. Fluency like a native is a very high standard...
Here is one of the few poems that i wrote in French. This one is about the love affair between a disillusioned woman From Indochina and her doll, a musician made out of porcelain, with his 10 metallic bottles which, at night, turned into brass musical instruments...The street used in this poem (also used in my novel DORH) is a real street name located in District 8 of Paris.
Here is one of the few poems that i wrote in French. This one is about the love affair between a disillusioned woman From Indochina and her doll, a musician made out of porcelain, with his 10 metallic bottles which, at night, turned into brass musical instruments...The street used in this poem (also used in my novel DORH) is a real street name located in District 8 of Paris.
A TOI JE PARLE
POETRY IN FRENCH Thơ tiếng Pháp
UyenNicoleDuong copyright 2000, 2013
Comme une jeune fille qui devenait femme entre l'est et l'ouest,
à toi seulement je parle:
"J'aime certaines choses dans la vie
Le ciel,
La neige
La musique,
Les roses,
et toi"
"Le ciel pour l'été doré
La neige pour l'hiver froid
La musique pour un soir
Les roses pour un jour
et toi pour toujours"
C'est pourquoi à toi je parle
du ciel d'un beau soleil
un homme qui n'est jamais seul
avec son saxophone
C'est pourquoi à toi seulement je parle
de mon enfance perdue
de la rivière du temps passé
de l'Indochine inquiète
des gens qui aiment bien les existentialistes
du pays de Baudelaire
(qui me ressemble)
et des vers contemporains
de Jacques Prévert
des hommes qui partent
et des femmes qui pleurent, dans un café
Ce n’est qu’a` toi que je raconte
L'histoire d'une petite fille qui a trouvé,
dans la rue d'un pays étranger en Indochine,
une statue de porcelaine,
un homme aux yeux bleus
assis parmi dix bidons métalliques
Elle a emporté la statue de porcelaine chez elle,
avec ses dix bions métalliques,
et les a mis sur sa table de nuit
Elle lui a parlé toute la nuit
et avant de dormir,
elle a soufflé sur lui
et tout de suite
tout s'est animé
La statue de porcelain s’est trasnforme’e en un homme réel,
un artiste, un musicien, un acteur de théâtre,
très doux
très bavard
plein d'humour
plein d'action
Il a touché les dix bidons métalliques
qui tout à coup sont devenus des instruments musicaux
des trompettes
des saxophones
des clarinettes
des flutes
dix instruments en tout
don’t seul it jouait
pour moi sa seule spectatrice
Comme ci, comme ça
Chaque soir,
Il jouait de ses instruments
Il se plaisait
Il s'amusait
Il créait pour lui-même et pour sa belle spectatrice
un orchestre
une pièce de théâtre
Elle le regardait
Elle l'écoutait
Elle lui parlait
Elle lui confiait ses secrets
C'est seulement pour toi que je continue
l'histoire d'une jeune fille qui adorait sa statue de porcelaine
UyenNicoleDuong copyright 2000, 2013
Comme une jeune fille qui devenait femme entre l'est et l'ouest,
à toi seulement je parle:
"J'aime certaines choses dans la vie
Le ciel,
La neige
La musique,
Les roses,
et toi"
"Le ciel pour l'été doré
La neige pour l'hiver froid
La musique pour un soir
Les roses pour un jour
et toi pour toujours"
C'est pourquoi à toi je parle
du ciel d'un beau soleil
et mes premières vacances sur la côte d'Azur
de la neige en novembre de mon premier anniversaire en Amerique
des roses du jardin de mes rêveries,
de la neige en novembre de mon premier anniversaire en Amerique
des roses du jardin de mes rêveries,
dont la couleur ressemble à mon sang
de la musique de l'opéra occidental, qui m'élève au temps sacré
Toi, qui occupe mes pensées
Un homme intellectuel, musical, et artistique
un peu drôle
un peu fou
mais tres passionné
une image de l’homme surréelle
Toi, qui occupe mes pensées
Un homme intellectuel, musical, et artistique
un peu drôle
un peu fou
mais tres passionné
une image de l’homme surréelle
un homme qui n'est jamais seul
avec son saxophone
C'est pourquoi à toi seulement je parle
de mon enfance perdue
de la rivière du temps passé
de l'Indochine inquiète
des gens qui aiment bien les existentialistes
du pays de Baudelaire
(qui me ressemble)
et des vers contemporains
de Jacques Prévert
des hommes qui partent
et des femmes qui pleurent, dans un café
A TOI JE RACONTE
Ce n’est qu’a` toi que je raconte
L'histoire d'une petite fille qui a trouvé,
dans la rue d'un pays étranger en Indochine,
une statue de porcelaine,
un homme aux yeux bleus
assis parmi dix bidons métalliques
Elle a emporté la statue de porcelaine chez elle,
avec ses dix bions métalliques,
et les a mis sur sa table de nuit
Elle lui a parlé toute la nuit
et avant de dormir,
elle a soufflé sur lui
et tout de suite
tout s'est animé
La statue de porcelain s’est trasnforme’e en un homme réel,
un artiste, un musicien, un acteur de théâtre,
très doux
très bavard
plein d'humour
plein d'action
Il a touché les dix bidons métalliques
qui tout à coup sont devenus des instruments musicaux
des trompettes
des saxophones
des clarinettes
des flutes
dix instruments en tout
don’t seul it jouait
pour moi sa seule spectatrice
Comme ci, comme ça
Chaque soir,
Il jouait de ses instruments
Il se plaisait
Il s'amusait
Il créait pour lui-même et pour sa belle spectatrice
un orchestre
une pièce de théâtre
Elle le regardait
Elle l'écoutait
Elle lui parlait
Elle lui confiait ses secrets
C'est seulement pour toi que je continue
l'histoire d'une jeune fille qui adorait sa statue de porcelaine
Mais la guerre est arrivée
Le temps coulait
La vie passait
Les gens couraient
et parmi les chocs et le chaos,
un cyclo saigonnais
écrasait la statue de porcelaine, ses dix bidons
Tout est brise’
comme le rêve de la petite fille
La vie passait
Les gens couraient
et parmi les chocs et le chaos,
un cyclo saigonnais
écrasait la statue de porcelaine, ses dix bidons
Tout est brise’
comme le rêve de la petite fille
***
Et pourtant, les jours roulaient
La petite fille qui devenait femme entre l'Est et l'Ouest est allée a` Paris
sans protection
sans mémoire
sans compagnie
Et pourtant, les jours roulaient
La petite fille qui devenait femme entre l'Est et l'Ouest est allée a` Paris
sans protection
sans mémoire
sans compagnie
une femme seule
avec sa solitude
Sur le chemin qu'elle a choisi
Il y avait beaucoup de larmes
Ella a cherché toujours, partout à Paris, mais n'a jamais retrouve’ une statue de porcelaine
avec ses dix bidons métalliques
Un jour
dans un café comme le café de Jacques Prévert
apres avoir lu Le Figaro,
en faisant le bilan de sa vie,
comme un coup de foudre,
elle a rencontré un homme aux yeux bleus,
qui jouait du saxophone
L'homme qui ressemblait exactement à la statue de porcelaine
avec sa solitude
Sur le chemin qu'elle a choisi
Il y avait beaucoup de larmes
Ella a cherché toujours, partout à Paris, mais n'a jamais retrouve’ une statue de porcelaine
avec ses dix bidons métalliques
Autumn in Europe acrylic on paper DNN copyright 2010
Un jour
dans un café comme le café de Jacques Prévert
apres avoir lu Le Figaro,
en faisant le bilan de sa vie,
comme un coup de foudre,
elle a rencontré un homme aux yeux bleus,
qui jouait du saxophone
L'homme qui ressemblait exactement à la statue de porcelaine
de son enfance
avec ses dix bidons
Tombant amoureuse,
elle l'a suivi au bâtiment,
au neuvième etage du Numéro 12 Rue St Jean Baptiste de la Salle
Elle lui a dit qu'elle l'aimait
Et elle est restée chez lui, au Numéro 12
Tombant amoureuse,
elle l'a suivi au bâtiment,
au neuvième etage du Numéro 12 Rue St Jean Baptiste de la Salle
Elle lui a dit qu'elle l'aimait
Et elle est restée chez lui, au Numéro 12
Rue St. Jean Baptiste de la Salle
Il y avait une seule fenêtre au neuvième étage
Il y avait une seule fenêtre au neuvième étage
Numéro 12 Rue St. Jean Baptiste de la Salle
L'amour, comme sa vie, ressemble à l'image surréelle,
L'amour, comme sa vie, ressemble à l'image surréelle,
un objet d'art très fragile
Et alors quand le soleil se levait, le beau matin la saluait
Elle se réveillait
Son amoureux dormait encore
Elle a ouvert la seule fenêtre du Numéro 12
Et alors quand le soleil se levait, le beau matin la saluait
Elle se réveillait
Son amoureux dormait encore
Elle a ouvert la seule fenêtre du Numéro 12
Rue Jean Baptiste de la Salle
En bas, la Cité lui a souri
Elle a regardé la Rive Gauche, les Champs Elysées, L'Opéra, La Tour Effel, Notre Dame, Le Sacré Coeur,
Montmartre, et toutes les choses si belle de Paris
en pensant à la statue de porcelaine, à L'Indochine inquiète,
En bas, la Cité lui a souri
Elle a regardé la Rive Gauche, les Champs Elysées, L'Opéra, La Tour Effel, Notre Dame, Le Sacré Coeur,
Montmartre, et toutes les choses si belle de Paris
en pensant à la statue de porcelaine, à L'Indochine inquiète,
à toutes les choses inanimées qui étaient brisées
Elle retournait à son amoureux pour trouver seulement un homme
comme les autres hommes à Paris, non plus de porcelaine,
comme les autres hommes à Paris, non plus de porcelaine,
non plus le souvenir d'une enfance précieuse,
non plus de confiance
Sur le chemin qu'elle a choisi, il y avait déjà beaucoup de larmes, beaucoup d' hommes
Elle cherchait encore
non plus de confiance
Sur le chemin qu'elle a choisi, il y avait déjà beaucoup de larmes, beaucoup d' hommes
Elle cherchait encore
Et ce matin-là
Elle aurait bien voulu s'envoler
sur la Cité
sur Paris, belle comme un rêve
pour chercher la statue de porcelaine
Elle aurait bien voulu s'envoler
sur la Cité
sur Paris, belle comme un rêve
pour chercher la statue de porcelaine
qui jouait des instruments métalliques
Il n'y avait qu'une fenetre,
Il n'y avait qu'une sortie,
Il n'y avait qu'un moyen de s'envoler
Il n'y avait qu'une fenetre,
Il n'y avait qu'une sortie,
Il n'y avait qu'un moyen de s'envoler
Elle a décidé de partir,
comme un petit oiseau qui aimait bien ses ailes, elle a sauté
de la seule fenetre du neuvième étage,
comme un petit oiseau qui aimait bien ses ailes, elle a sauté
de la seule fenetre du neuvième étage,
Numéro 12 Rue Jean Baptiste de la Salle
La télé a annoncé
la nouvelle d'une femme qui etait tombée de la fenêtre
La télé a annoncé
la nouvelle d'une femme qui etait tombée de la fenêtre
du Numéro 12 Rue Jean Baptiste de la Salle
pendant que son amoureux dormait encore
Pour toi seul je conclus
pendant que son amoureux dormait encore
Pour toi seul je conclus
l'histoire d'une femme qui finissait le bilan de sa vie
au Numéro 12 Rue Jean Baptiste de la Salle
C'est pourquoi à toi seul je parle:
”Je préfère parler, et sans paroles, nous serons toujours des etrangers,
malgré nos gros baisers,
malgré mon amour fou
”Je préfère parler, et sans paroles, nous serons toujours des etrangers,
malgré nos gros baisers,
malgré mon amour fou
parce que pour moi,
dans mon voyage de l'Est à l'Ouest
il n'y aura jamais qu'une fenêtre Parisienne
dans mon voyage de l'Est à l'Ouest
il n'y aura jamais qu'une fenêtre Parisienne
au Numéro 12 Rue Jean Baptiste de la Salle..."
Noël 1997
UND Copyright 1997, 2012
Noël 1997
UND Copyright 1997, 2012
Friday, November 3, 2017
ABOUT BOURGET AND DEBUSSY: HOW TO TRANSLATE "L'AME EVAPOREE"? Lam the nao de dich cum tu "L'Ame Evaporee" cua Bourget-Debussy
CHO ĐỘC GIẢ VN:
Ý NGHĨA CỦA BOURGET-DEBUSSY “L' ÂME E’VAPORE’E”
(qua con mắt của cô bé gốc Việt)
HƠI, SƯƠNG, HAY KHÓI?
Linh Hồn
Là HƠI
Theo Ông
Là HƠI
Theo Ông
Là SƯƠNG
Theo Cô
Theo Cô
Là KHÓI
Theo Bác
Theo Bác
Hơi
Là Hơi Thở
Con Người
Theo Ông
Là Hơi Thở
Con Người
Theo Ông
Sương
Là Sương Ban Mai
Cái Đẹp
Theo Cô
Là Sương Ban Mai
Cái Đẹp
Theo Cô
Khói
Là Khói
Đốt cay mắt
Khói cuả chiến tranh
Con người đẹp bị cháy
Theo Bác
Là Khói
Đốt cay mắt
Khói cuả chiến tranh
Con người đẹp bị cháy
Theo Bác
Tôi sẽ theo Ông
Theo Cô
Không theo Bác
(Nhất là khi Bác không cho tôi Hộ Khẩu)
Theo Cô
Không theo Bác
(Nhất là khi Bác không cho tôi Hộ Khẩu)
Bé Sương Thơm của DNN
copyright
September 29, 2012
Thursday, November 2, 2017
CAO BA QUAT'S "Thú Nhàn" ON FACEBOOK: Cao Bá Quát sẽ nói gì nếu ngài "LÁNH NẠN" (TỴ ĐỊA )trên FB? POET, DEATH-ROW DISSIDENT, OR PROPHET?
MORE ON VIETNAM'S CAO BA QUAT: 19TH-CENTURY DISSIDENT AGAINST A FEUDAL MONARCHY
Tribute to the extraordinary talent of our very own Cao Bá Quát:
FOR VIET READERS: NẾU CAO BÁ QUÁT XUẤT HIỆN TRÊN FACEBOOK, NGÀI SẼ NÓI GÌ?
IF ANCIENT VIETNAM'S MOST FAMOUS DISSIDENT CAO BA QUAT WERE ON FACEBOOK TODAY, WHAT WOULD HE SAY?
THÚ NHÀN ...QUA FACEBOOK
Nguyên Tác giả: Cao Bá Quát
Họa: DNN
Thế sự thăng trầm nên "facebook" (1)
Yên ba thâm xứ "tag" năm châu (2)
"Chat" tay nằm "phone" chuyện đâu đâu
Đem mộng sự đọ "comment" thì cũng hệt
...
Lấy "video" chi minh nguyệt (3)
Kho trời chung, mà "home" của mình riêng
Cuộc vuông tròn: "page," "group" khuôn thiêng
Kẻ thành thị kẻ vui miền lâm tẩu
Gõ nhịp "Mark," đọc tên 'Zuckerberg" (4)
"Quân bất kiến "Messenger" chi thủy, thiên thượng "live," "event" đáo hải bất phục hồi" (5)
"facebook" làm chi cho mệt một đời???
Nguyên Tác giả: Cao Bá Quát
Họa: DNN
Thế sự thăng trầm nên "facebook" (1)
Yên ba thâm xứ "tag" năm châu (2)
"Chat" tay nằm "phone" chuyện đâu đâu
Đem mộng sự đọ "comment" thì cũng hệt
...
Lấy "video" chi minh nguyệt (3)
Kho trời chung, mà "home" của mình riêng
Cuộc vuông tròn: "page," "group" khuôn thiêng
Kẻ thành thị kẻ vui miền lâm tẩu
Gõ nhịp "Mark," đọc tên 'Zuckerberg" (4)
"Quân bất kiến "Messenger" chi thủy, thiên thượng "live," "event" đáo hải bất phục hồi" (5)
"facebook" làm chi cho mệt một đời???
NGUYEN TAC:
Thế sự thăng trầm quân mạc vấn (1)
Yên ba thâm xứ hữu ngư châu (2)
Vắt tay nằm nghĩ chuyện đâu đâu
Ðem mộng sự đọ với chân thân thì cũng hệt
Duy giang thượng chithanh phong,
dữ sơn gianchi minh nguyệt (3)
Kho trờichung , mà vô tận của mình riêng
Cuộc vuông tròn phó mặc khuôn thiêng
Kẻ thành thị kẻ vui miền lâm tẩu
Gõ nhịp lấy, đọc câu 'Tương Tiến Tửu' (4)
"Quân bất kiến Hoàng Hà chi thủy thiên thượng lai, bôn lưu đáo hải bất phục hồi" (5)
Làm chicho mệt một đời.
Yên ba thâm xứ hữu ngư châu (2)
Vắt tay nằm nghĩ chuyện đâu đâu
Ðem mộng sự đọ với chân thân thì cũng hệt
Duy giang thượng chi
dữ sơn gian
Kho trời
Cuộc vuông tròn phó mặc khuôn thiêng
Kẻ thành thị kẻ vui miền lâm tẩu
Gõ nhịp lấy, đọc câu 'Tương Tiến Tửu' (4)
"Quân bất kiến Hoàng Hà chi thủy thiên thượng lai, bôn lưu đáo hải bất phục hồi" (5)
Làm chi
***
WHAT'S MORE? CAO BA QUAT THE PROPHET
"Facebook ba "likes": một thầy một cô, một "hack" cái...
"Friends" th̀i dăm đứa: nửa người, nửa ngợm, nửa đười ươi...
"Friends" th̀i dăm đứa: nửa người, nửa ngợm, nửa đười ươi...
"Ba hồi "post" bậy, đ...cha kiếp"
Một "block" gươm "wow", đ...mẹ đời..."
NGUYEN TAC:
Nhà trống ba gian, một thầy một cô, một chó cái
Học trò dăm đứa, nửa người nưả ngợm, nưả̀ đười ươi...
Ba hồi trống dục Đ` cha kiếp
Một bước gươm đi, Đ' mẹ đời
Một "block" gươm "wow", đ...mẹ đời..."
NGUYEN TAC:
Nhà trống ba gian, một thầy một cô, một chó cái
Học trò dăm đứa, nửa người nưả ngợm, nưả̀ đười ươi...
Ba hồi trống dục Đ` cha kiếp
Một bước gươm đi, Đ' mẹ đời
In the verses above, CBQ has given us the following:
1) the painting of not only Courbet's realism but also Salvador Dali's surrealism ̣(thầy cô, ch́ó caí, người, ngợm, đười ươi...real and surreal, truth and satire): "chó caí: a female dog, a bitch. It's a house of three rooms -- three regions? Empty or abandoned? Inhabited by whom? The professor (source of knowledge and wisdom), his wife (companionship and nurturing), and a female dog (promiscuous procreation, or loyalty?). The professor and his wife have no children, just a female dog, which is supposedly man's best friend. The dog has to be female to procreate and continue the inhabitation of the world...Not the professor and his wife, but the bitch will be the perpetuator of our earth or that poignantly empty three-room house! What exactly is that empty house, nha tro^'ng ba gian? And the students? The recipients of inheritance, heritage, legacy, learning, knowledge and wisdom? Human will exist only as "half." And what else? What the heck is "ngom"? That has to be the surreal "elevation" of human a la Dali's artistic imagination. And "duoi uoi?" Cao Ba Quat has taken us back to Darwinism.
2) the capturing of both Quetin Tarantino's Pulp Fiction and Honore De Balzac's The Executioner: Đ cha kiep, Đ me đời: a curse at life and death, the ultimate defiance of authority and oppression...
2) the capturing of both Quetin Tarantino's Pulp Fiction and Honore De Balzac's The Executioner: Đ cha kiep, Đ me đời: a curse at life and death, the ultimate defiance of authority and oppression...
...all in such exquisite, lofty, yet anguished elegance!
Who else could have done this, except our very own Cao Ba Quat, way ahead of his time?
In face of such painful loftiness, kneeling down...is the only thing to do.
But:
Ladies and gentlemen of the Viet heritage, I am afraid that it's not Trang Trinh who was the prophet for the last of Vietnamese, but it is indeed the death-row prisoner Cao Ba Quat. Isn't it true that he has described what we have...today?
People kneel down in awe, only to stand up in perseverance. When law becomes lawlessness, one must stand up has he has stood up, ba hoi trong duc, mot buoc guom di....The difference: he stood up to die; we stand up to live!
"Entre le fort et le faible, c'est la liberte qui opprime et la loi qui affranchit." (Between the powerful and the weak, it is liberty that oppresses and the law that sets free.")
Pere Henri Lacordaire ( 1802-1861) (successor to Alexis de Tocquerville in the French Academy)
DNN Nov. 2017
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